Accueil            Couture            Tricot            Déco            Brico            Cuisine             Tuto           Blogroll         

10/04/2008

Mon enfant, ma douleur...

Hier soir, Eliott n'allait pas bien et ce matin non plus. Vraiment pas bien. Il avait terriblement mal. Il hurlait, se tordait de douleur. J'aurais voulu pouvoir l'apaiser d'une caresse, d'un mot tendre. Mais ça ne marche pas comme ça... Quand il pleure comme ça, ma gorge se noue, j'ai la nausée. Des expressions comme : "ça me brise le cœur", prennent alors tout leur sens, car oui, on a bien le cœur qui explose en mille morceaux. Il n'y a rien de pire que de voir son enfant souffrir. Cette phrase parait tellement banale.... mais elle est aussi tellement vraie. Ne vous inquiétez pas outre mesure (inutile de sauter sur votre téléphone Brigitte), le courage m'envahit de nouveau à regarder son visage apaisé maintenant qu'il dort . Demain sera un jour meilleur.

3 commentaires:

  1. Je crois que ce que tu as écrit m'a beaucoup touché car ceux sont vraiment les paroles d'une mère ! Je me retrouve dedans !Voir son enfant souffrir, c'est pire que souffrir soi ! Mais un enfant est aussi une tel joie, un tel amour, un tel bonheur qu'il nous rend plus fort ! Allez ma Soso, t'es une battante, un peu une tortue .... Mais une tortue géante ! Bisous Marine

    RépondreSupprimer
  2. Et oui, pas toujours facile d'être une maman! Et rien de pire que de se sentir impuissant, mais si tu ne peux soulager sa douleur, je suis sûre qu'il entend tes mots tendres et qu'il sent ton soutien! Les liens que tu tisses avec lui sont sans doute plus forts que ceux qui ne mettent pas à l'épreuve: lui il sait qu'il a une maman sur qui il peut compter en toutes circonstances! Maigre consolation me diras-tu! Mais quand on regarde ton petit Arthur, on voit bien que tout ça n'est pas vain! Il a de la chance ce petit bonhomme! Moi j'admire ton courage et ta patience, car avec Salomé,il m'est arrivé de fondre en larmes pour moins que ça!... "La chair de ma chair"... ça dit bien les choses.
    On compatit et on vous embrasse tous bien fort. Courage à tous les quatres, ce ne seront plus que quelques mauvais souvenirs bientôt!

    RépondreSupprimer
  3. Merci les filles pour votre soutien.
    Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Hier Eliott allait mieux et à l'heure où j'ecris, tous les hommes de la maison dorment. Chut... profitons du calme retrouvé...

    RépondreSupprimer